En lui se mêlaient plusieurs sangs, celui de cette longue lignée de sculpteurs et d’artisans florentins arrivés en France vers la fin de la Renaissance, mais aussi celui des Cazals de Boulhonnac, seigneurs de ce village au XVIIIe siècle. Il eut la jeunesse studieuse et sereine qu’offrait encore la province jusqu’à sa rencontre en classe de terminale avec le philosophe Claude Estève qui l’amènera très vite dans ce lieu essentiel où se tissait en liaison avec les esprits les plus libres, l’œuvre déterminante d’un gisant : la chambre de Joë Bousquet.
Vailland, une licence de lettres en Sorbonne, complétée par une autre de philosophie à Toulouse